TOBINA FILM

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Sortie en Norvège de LAISSEZ BRONZER LES CADAVRES

Sortie en Norvège de LAISSEZ BRONZER LES CADAVRES

« Welcome to sunny southern France. Bruno and his gang have just stolen 250 kilograms of gold, and have to lay low for a while. Moreover, what hideaway is better than an old ruin inhabited by a bunch of artists? The next day will be filled with blood, sweat, meat, squeaky leather and a frenetic cliff rhythm. This is a homage to Italian crime films and the 70’s spaghetti-westerns. Funny, foul and, above all, completely crazy. «   ...

Laissez bronzer les cadavres in the Top 50 films of 2017 of Crossfader Magazine

Get ready to be blinded by a ballet of bullets dipped in acid. French experimental filmmaking duo Hélène Cattet and Bruno Forzani give us a FREE FIRE-esque shootout through a heavily stylized new wave filter that would make Seijun Suzuki dizzy. It may seem like a feature-length action scene with barely a minute or two of breathing room, but it’s definitely a ride worth taking. Following a nonlinear, time stamp-filled narrative about a single day’s deadly quest for a stolen pile of gold, nearly every frame of LET THE CORPSES TAN surprises with visual glee. Playing like a round of TOM CLANCY’S RAINBOW SIX SIEGE on LSD, any angle, corner turn, or even reflection could mean life or death for our eccentric lady Luce (“light”), the estate owner, and the various armed thieves hiding in plain sight. Light itself plays just as big a role as guns and is presented with just as much hairpin precision. It’s guaranteed to cause some audiences to perspire, if not throw in the towel out of exhaustion, but for those who thought Wheatley’s and Tarantino’s kills have been a little bland as of late, this one’s for you. [Alexander Larios]  ...
« De nombreuses séquences allégoriques élevent LAISSEZ BRONZER LES CADAVRES au rang d’un film mystique proche de « El Topo » d’Alejandro Jodorowsky » – Horreur.com

« De nombreuses séquences allégoriques élevent LAISSEZ BRONZER LES CADAVRES au rang d’un film mystique proche de « El Topo » d’Alejandro Jodorowsky » – Horreur.com

« La Méditerranée, l’été : une mer d’azur, un soleil de plomb… Et 250 kilos d’or volés par Rhino et sa bande. Ils ont trouvé la planque idéale : un village abandonné, coupé de tout, investi par une artiste en manque d’inspiration. Hélas, quelques invités surprises et deux flics vont contrecarrer leur plan : ce lieu paradisiaque, autrefois théâtre d’orgies et happenings sauvages, va se transformer en un véritable champ de bataille impitoyable et hallucinatoire. »   http://www.horreur.com/?q=nid-6384%2Flaissez-bronzer-les-cadavres-laissez-bronzer-les-cadavres-2017-h%C3%A9l%C3%A8ne-cattet-bruno-forzani...
« Let the Corpses Tan is the essence of a hallucinogenic midnight movie » bigfacesmallrazor.com

« Let the Corpses Tan is the essence of a hallucinogenic midnight movie » bigfacesmallrazor.com

« Hélène Cattet, Bruno Forzani’s Let the Corpses Tan (B+) was the essence of a hallucinogenic midnight movie.  Featuring a cast of silhouettes, this kaleidoscopic tribute to a bygone era perfectly recaptures this aura without becoming a dull reproduction: it’s a better contemporary grindhouse flick than the grindhouse revival; a better contemporary Giallo than most present-day Giallo (including Cattet and Forzani’s own The Strange Colour of Your Body’s Tears), and a better neo-western than most neo-westerns. A Corsican hamlet atop a gorgeous mountain is the stage for an all-night shootout between the artists who reside there, the thieves who hide away there, a mother and her children who run away there, and the police who follow them all. »      ...
« Est-ce que nous tenons ici un Tarantino made in France ? » Les Inrockuptibles

« Est-ce que nous tenons ici un Tarantino made in France ? » Les Inrockuptibles

Est-ce que nous tenons ici un Tarantino made in France ? S’il est encore trop tôt pour faire de telles affirmations, le trailer du nouveau film du duo de réalisateurs Hélène Cattet et Bruno Forzani fait de belles promesses. Laissez bronzer les cadavres est une adaptation du roman éponyme écrit par Jean-Patrick Manchette et raconte l’histoire de trois braqueurs chassés par deux flics au coeur des côtes méditerranéennes : un lieu paradisiaque qui va vite se transformer en champ de bataille. Au programme : des gunfights, règlements de compte, du sang et quelques répliques délicieuses. Présentée hors compétition au Festival de Locarno dans la sélection Piazza Grande, cette petite bombe indépendante arrivera en salles le 18 octobre prochain.  ...
Sortie nationale de LAISSER BRONZER LES CADAVRES en Belgique

Sortie nationale de LAISSER BRONZER LES CADAVRES en Belgique

Il est 11 heures du matin. L’atmosphère est étouffante, l’ambiance solaire. Nous sommes au bord de la Méditerranée, en plein été. Mer d’azur, soleil de plomb… et 250 kilos d’or volés par Rhino et sa bande, qui ont trouvé la planque idéale : un village abandonné, coupé de tout, investi par une artiste et son alter ego masculin, tous deux en manque d’inspiration. Hélas, quelques invités surprises vont contrecarrer leur plan. Ce lieu paradisiaque, autrefois théâtre d’orgies et de happenings sauvages, va se transformer quelques heures plus tard en un véritable champ de bataille impitoyable et hallucinatoire. Après « Amer » et « L’étrange couleur des larmes de ton corps », le troisième long métrage d’Hélène Cattet et Bruno Forzani (H&B) concrétise un vieux fantasme du couple : l’adaptation du roman éponyme (Gallimard, 1971) écrit par deux auteurs à la fibre anarchiste, Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid. Ce polar gorgé d’influences cinématographiques, dont la particularité est de raconter son histoire en temps réel, constituait une matière rêvée pour ces deux cinéastes méticuleux, adeptes de cinéma de genre et de délires bricolés en pellicule. On n’est pas déçus : chaque photogramme de « Laissez bronzer les cadavres » est un régal. Tourné en S16mm, c’est un festin d’idées de cinéma et de figures de style oscillant entre western-spaghetti et giallo, où chaque élément du décor (un village abandonné dans l’aridité du bord de mer corse), le moindre mouvement de pupille des personnages (notamment Elina Löwensohn, ex-égérie des films d’Hal Hartley, Stéphane Ferrara, ancien boxeur qui a joué dans « Détective » de Godard et dans plusieurs polars urbains aux côtés de Jean-Paul Belmondo, et Bernie Bonvoisin, chanteur du groupe de hard...
Première image de L’ETRANGE COULEUR DES LARMES DE TON CORPS d’Hélène Cattet et Bruno Forzani dévoilée sur Twitchfilm.com !!

Première image de L’ETRANGE COULEUR DES LARMES DE TON CORPS d’Hélène Cattet et Bruno Forzani dévoilée sur Twitchfilm.com !!

First Shot From AMER Directors’ Latest THE STRANGE COLOUR OF YOUR BODY’S TEARS The directing duo of Helene Cattet and Bruno Forzani created quite a stir with the release of their debut feature, Amer, in 2009. A gorgeously rendered tribute to the giallo films they adore the film was a hit on the festival circuit and has left the duo’s fans anxiously waiting for more. We got at least a taste with their contribution to The ABCs of Death anthology, where they turned in the astounding O Is For Orgasm, but the real deal comes soon with the arrival of their second feature,The Strange Colour Of Your Body’s Tears.  The duo have this to say about the project: The Strange  Colour is the story of a man who investigates the weird conditions of his wife’s disappearance. It’s a film which we (Hélène & Bruno) have worked on for nine years now. It is set in Brussels (where we live) which is particularly known for its Art Nouveau architecture. The film is still produced by the same producers as Amer – Eve Commenge and François Cognard – and the Flemish director / producer Koen Mortier (Ex-Drummer). http://twitchfilm.com/2013/02/first-shot-from-amer-directors-latest-the-strange-colour-of-your-bodys-tears.html...
INSENSIBLES sorti en Blu Ray et DVD chez Wild Side !

INSENSIBLES sorti en Blu Ray et DVD chez Wild Side !

  Sur le site Premiere.fr Insensibles : un film maudit ? Parallèlement à sa sortie espagnole en salles, le très troublant Insensibles paraît chez nous en DVD. Son réalisateur, Juan Carlos Medina, revient sur l’accueil trop confidentiel réservé en France à son excellent premier film. Première : Était-ce une bonne idée de montrer Insensibles en France avant de le sortir en Espagne ? Juan Carlos Medina : Il faudrait poser cette question au distributeur. Insensibles s’est fait grâce au producteur François Cognard et à nos premiers partenaires français, Canal+ et Wild Bunch. Mais la France n’est pas un pays très ouvert aux films de genre. Les exploitants n’en veulent pas, soi-disant parce que ça attire la « racaille ». S’ils continuent, ils ne passeront plus que des comédies familiales. Pour ne rien arranger, Insensibles a été interdit aux moins de 16 ans. Du coup, on n’est sortis que dans seize salles. En Espagne, le film sera distribué fin février sur – deux cents écrans. Si ça marche, on aura des arguments encore plus forts face aux exploitants. Pourtant, Insensibles échappe aux catégories… C’était un peu mon but. J’adore le cinéma asiatique, qui transcende les genres et n’hésite pas à élargir sa palette pour raconter une histoire. De même, Insensiblesest à la fois un thriller, un film d’horreur et un drame historique avec des connotations politiques. L’interdiction aux moins de 16 ans vient du fait que j’ai voulu évoquer une époque sans chercher à en cacher la dureté et la noirceur. C’est une réflexion sur la façon dont l’histoire et l’environnement peuvent pervertir l’innocence et la transformer en mal absolu. Peut-on dire que l’occultation du passé est un thème spécifiquement espagnol ? Oui, dans la mesure...